Un mail professionnel part sans prévenir. Les doigts tapent, l’attention se relâche, et soudain, la question surgit, incisive. Que faut-il écrire, « je me permet » ou « je me permets » ? Ce détail, si minuscule soit-il, n’échappe jamais à l’œil de celui ou celle qui lit de l’autre côté de l’écran. Une seule lettre, un simple -s, et toute la crédibilité du message vacille. Oui, la confiance se joue parfois sur une terminaison. N’avez-vous jamais ressenti cette pointe d’hésitation, ce soupçon de doute, juste avant d’appuyer sur « envoyer » ? Vous êtes loin d’être seul à vivre ce suspense grammatical.
Il ne s’agit pas là de pinailler pour le plaisir. L’erreur s’insinue partout : sur LinkedIn, dans un CV, dans un courrier à un organisme, même dans une lettre à un proche si le ton se veut formel. L’année avance, mais la question reste terriblement vivante. Les recherches Google sur « je me permet » persistent, preuve que le doute n’a pas quitté la scène. Pourtant, la règle ne change pas, ni aujourd’hui, ni demain, ni en 2025 : la seule orthographe correcte demeure « je me permets », avec un -s, rien d’autre. Pourquoi cette obstination du -s ? Parce que le verbe permettre, conjugué à la première personne, l’exige, sans exception ni détour.
Vous souhaitez éviter le faux pas ? La Conjugaison sur le Figaro ne laisse aucune place au doute, il tranche, il rassure et il confirme la règle. À ceux ou celles pour qui la langue reste parfois un terrain miné, ce site devient vite un réflexe. Les amoureux du mot juste y trouvent leur salut et, plus important encore, la certitude de ne pas commettre la faute qui tue la crédibilité.
La problématique de l’orthographe, « je me permet » ou « je me permets », quelle règle suivre en 2025 ?
L’hésitation surgit, légère mais insistante. Vous l’avez déjà ressentie. « Je me permet » ou « je me permets » ? La différence paraît infime, mais la conséquence, elle, se révèle immense. Dans le flot des emails, des lettres de motivation, des messages de relance, ce détail prend toute son importance. Les experts et toutes les références officielles, du Projet Voltaire au Conjugueur, sont unanimes : seule la version avec un -s à la fin du verbe prévaut à la première personne du singulier.
L’avis des experts et des outils de référence se montre-t-il vraiment unanime ?
Le -s, ce n’est pas une décoration. Il marque la conjugaison du verbe permettre, il impose sa loi sur le modèle de mettre. Aucune variante, aucune alternative, aucune hésitation. Je permets, tu permets, il permet. Ce schéma ne bouge pas d’un iota. Même les correcteurs automatiques, qu’il s’agisse de Projet Voltaire ou de Merci-App, ne laissent pas passer « je me permet » sans lever un drapeau rouge. Le cerveau hésite parfois, trompé par d’autres verbes du premier groupe, mais permettre fait partie du troisième, là où le -s règne.
Combien de fois avez-vous ressenti ce malaise, juste avant de cliquer sur « envoyer » ? Ce moment où l’on se demande si la phrase passera inaperçue ou si elle trahira le manque de rigueur. Le -s ne pardonne pas, et la seule option acceptable reste « je me permets ».
Les règles de conjugaison du verbe permettre à la première personne, quelle mécanique se cache derrière ?
Un mot, une terminaison, un modèle. Le verbe permettre ne fait pas bande à part dans la jungle grammaticale. Il suit docilement le schéma du verbe mettre. La conjugaison à la première personne du singulier s’habille toujours d’un -s. « Je permets », « je mets ». Oublier ce -s, c’est s’exposer à la moue désabusée du lecteur averti.
Un modèle à mémoriser, comment ne plus se tromper ?
Le Conjugueur du Figaro affiche la conjugaison sans détour, sans fioritures. Tapez « se permettre », et la réponse ne tarde pas, limpide : je me permets, tu te permets, il se permet. Ce schéma revient, implacable, dans tous les contextes formels. Retenez-le, il vous évitera bien des sueurs froides.
| Personne | Permettre | Mettre |
|---|---|---|
| Je | je permets | je mets |
| Tu | tu permets | tu mets |
| Il/Elle | il permet | il met |
| Nous | nous permettons | nous mettons |
| Vous | vous permettez | vous mettez |
L’aide-mémoire, bien en vue, rappelle que la terminaison -s ne connaît pas d’exception. Année après année, la règle ne bouge pas, et le Conjugueur du Figaro la confirme sans la moindre hésitation.
Un outil fiable rassure, accompagne, sécurise. Que l’on soit professionnel, étudiant, ou simple amoureux de la belle langue, vérifier une conjugaison incertaine devrait devenir un réflexe. Projet Voltaire propose même des exercices pour traquer les fautes les plus coriaces autour de « je me permets ». Les correcteurs comme LanguageTool ou Merci-App détectent et corrigent, parfois avant même que le doute ne s’installe. Disposer d’un outil de référence, c’est se garantir une orthographe sans faille.
Mais alors, pourquoi ce phénomène persiste-t-il ? La langue française, jamais avare de pièges, laisse l’oral masquer l’écrit. Le -s, silencieux à l’oreille, saute aux yeux dès que la phrase s’affiche à l’écran. Et là, impossible de tricher.
Les exemples d’utilisation de « je me permets » dans des contextes variés, comment ancrer la règle pour de bon ?
Une phrase, un mail, une première impression. « Je me permets de vous écrire au sujet de votre annonce. » Cette formule, usée mais respectée, traverse les bureaux, s’invite dans les lettres de motivation, s’impose dans les correspondances officielles. « Je me permets de solliciter votre attention. » Ici encore, le -s marque la différence et, avouons-le, sauve la face.
Les exemples concrets, pourquoi ne pas s’en inspirer ?
Un rappel de rendez-vous : « Je me permets de vous rappeler notre échange prévu demain. » Facile, direct, efficace. Écrire « je me permet » dans ce contexte reviendrait à écorner la crédibilité, à susciter la méfiance. Les modèles de lettres, sur papier ou en ligne, n’omettront jamais le fameux -s. À chaque usage, le verbe permettre réclame sa terminaison, c’est invariable.
- « Je me permets de prendre contact afin d’obtenir des informations complémentaires. »
- « Je m’autorise à vous relancer concernant ma candidature. »
- « Je me permets de vous transmettre mes salutations respectueuses. »
L’anecdote circule encore dans les open spaces. Un jour, une responsable RH de Lyon, Élodie, tombe sur un message de candidature. « Je me permet de vous adresser mon CV… » Sourcils froncés, elle griffonne sur le côté, « il manque un -s ». Le message bascule dans la pile des refus, sans autre forme de procès. Cette petite lettre, si discrète, a parfois le pouvoir de tout changer.
La moindre faute d’orthographe, surtout dans un contexte professionnel, influence aussitôt la première impression laissée au destinataire.
La vigilance reste indispensable. Même les plus aguerris trébuchent parfois sur ce mot, happés par la rapidité ou la routine. Les experts du Conjugueur du Figaro rappellent que la vérification systématique épargne bien des déceptions, surtout lorsque le stress s’invite dans la rédaction.
Pourquoi la confusion continue-t-elle d’exister ? La langue française a ses caprices, et le passage de l’oral à l’écrit joue parfois des tours. Le stress d’un envoi précipité ajoute encore au risque. Pourtant, la règle demeure : « je me permets » s’écrit avec un -s, toujours, sans négociation.
Un dernier conseil, glané dans les bureaux et sur les forums de correcteurs : relisez systématiquement vos correspondances formelles avec un outil fiable, tel que le Conjugueur du Figaro. Ce geste, simple et rapide, garantit une orthographe irréprochable. L’attention portée à ce détail fait vraiment la différence. Laisser une lettre de côté, c’est risquer de voir son message relégué aux oubliettes.
La prochaine fois que le doute s’installe devant le clavier, souvenez-vous de cette règle. « Je me permets » s’écrit avec un -s, sans exception, jamais autrement. La rigueur n’est pas un luxe, c’est une nécessité, et la langue française ne laisse rien passer.




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